14 août 2008

Queyras 2008 Jour 6. Saint Véran - Ceillac



  • D+: 800

  • D-: 1000m

  • distance : 10 km

  • temps avec les pauses : 6 heures


Nous partons de bon matin pour notre dernière journée. La météo s'annonce exécrable pour la fin d'après midi et le week-end qui suit. C'est donc décidé, nous prendrons un bus à Ceillac et nous essaierons d'avancer notre billet de train pour rentrer le soir même.

Pour l'instant, la montée vers le col des Estronques s'effectue sous un beau ciel bleu, sans rencontrer personne à part les nombreuses marmottes.

vue depuis le col des Estronques
Nous choisissons ensuite d'emprunter un sentier en balcon qui mène au col Fromage, et offre de jolies vues sur la vallée de Ceillac.

le col Fromage
la vallée de Ceillac
Ce col est un véritable carrefour de randonnées, pas moins de 6 sentiers différents y mènent, et les marcheurs y sont nombreux. Mais les carrés de verdure ne manquent pas, et nous trouvons un coin tranquille pour prendre notre repas, en admirant les parapentes qui tournent dans les courants ascendants au dessus de Ceillac.

Nous arrivons à Ceillac à 15 heures, et l'office de tourisme nous annonce que le bus pour Montdauphin-Guillestre est à 15h30. Peu après 16 heures nous sommes à la gare, où l'on nous échange nos billets de train pour le soir même. Décidément, tout s'arrange pour que nous puissions partir au plus vite.

Il nous reste néanmoins 4 heures à patienter, le chauffeur du bus nous suggère de visiter les fortifications Vauban de Montdauphin. Nous nous rendons donc à la place forte du Roy, en grimpant la colline aux marmottes, gavées de carottes par les enfants de la région.

la place forte du Roy à Mont-Dauphin
Cette place forte encore habitée mérite effectivement le détour, d'autant que nous assistons à un spectacle équestre de qualité, sous les nuages de plus en plus menaçants.

De retour à la gare de Mont-Dauphin pour prendre notre train, le ciel s'obscurcit encore et la pluie se met à tomber. Il est temps de partir, nous apprendrons plus tard qu'il a même neigé à 2000 mètres dans la région le lendemain.

arrivée de la pluie à la gare de Mont-Dauphin
C'est donc sans trop de regret que nous quittons le Queyras, en nous promettant néanmoins d'y revenir un jour pour découvrir les sites que nous avons manqués.

Si notre expérience vous a plu, si vous voulez plus d'informations, n'hésitez pas à nous laisser quelques petits commentaires.

2 commentaires:

  1. quel courage !! Qui aurait pu dire a l'époque de Geppim que tout cela finirait par passer dans nos belles montagnes des alpes ( ou je serai demain).

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  2. Cette fois c'est décidé, l'an prochain je fais la même chose !
    Bravo et merci

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